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La Critica

« Cher grand musicien, quel bonheur que cette soirée passée à vous écouter ! Vous faites chanter votre clavier d’inoubliable façon ! Alliant la puissance et la légèreté, la force et la douceur avec un incomparable talent. Vos interprétations nous révèlent des œuvres peu connues mais renouvellent aussi d’autres très célèbres et ça, c’est un talent rare, réservé aux plus grands.J’ai eu la chance d’ entendre et de voir Horowitz, Rubinstein, Cziffra, Samson François, Yves Nat, Wilhelm Kempff, d’autres parmi les plus fameux et vous êtes de ces pianistes qui, comme eux, savent créer un climat et nous donnent de la musique pure; je suis

sûre que les compositeurs, où qu’ils soient, vous entendent, sourient, approuvent et se savent merveilleusement servis. Merci mille fois… Je vous savais grand pour vous avoir écouté il y a une dizaine d’années et hier soir, vous m’avez totalement comblée. Continuez à nous enchanter… Vous avez reçu un don unique, continuez à nous le faire partager…Croyez bien, cher pianiste, à ma reconnaissance, je forme des vœux pour que votre carrière se poursuive pour votre joie, celle de vos proches et la nôtre. Bien, bien admirativement. » Soizik Moreau, Maire Adjointe Chargée de la Culture, Mairie du 11 Arrondissement , Paris, 12 janvier 2006


En trente ans de carrière au Conservatoire de Nice, André Peyregne a observé trois enfants prodiges, « des enfants qui ont la science infuse, qui jouent spontanément », raconte-t-il. « Je me souviens de Jean Dubé. Il avait 5 ans. Pendant que ses parents me parlaient de ses dons, il s'amusait à quatre pattes sous mon bureau, juste avant de jouer une étude de Chopin qu'on ne joue normalement qu'après dix ans de Conservatoire » Anne Crignon et Claire Fleury , Le Nouvel Observateur, « Les enfants prodiges », semaine du jeudi 22 décembre 2005


Il me semble, en vérité, que Jean Dubé est un musicien unique qui peut jouer pratiquement tout avec une compréhension absolue, sans parler de sa technique pianistique phénoménale. Normunds Šnē, chef d’orchestre, directeur de l’Orchestre National de Riga, Latvijas Mūzikas Informācijas Centrs, 10 juin 2004


A peine Jean Dubé eut-il mis ses mains sur le piano, dimanche au Westminster, que l’auditoire fut aux anges. Il venait d’aborder un Impromptu de Chopin. Seuls les magiciens ont ce pouvoir de ravir instantanément le public. Jean Dubé est, à sa façon, un magicien. Dès les premiers applaudissements, le public fut debout. Cela se voit rarement. A 21 ans, Jean Dubé est un pianiste comme il y en a peu. Sa maîtrise est parfaite, sa virtuosité stupéfiante, sa musicalité idéale, sa sonorité merveilleuse. En plus, il possède ce don d’émouvoir qui distingue les artistes d’élite des autres. Nice Matin, 2003

« Jean Dubé incontestable vainqueur du concours Liszt ». Dubé est vraiment un grand interprète: il apporte du bonheur et même une certaine béatitude. Algemeen Dagblad, 2002

Jean Dubé possède le plus de maîtrise, il choisit le spectaculaire et la vitesse et réussit à transmettre au public son enthousiasme pour la virtuosité lisztienne. Sa cadence bien réussie lui a valu les ovations des mélomanes. Telegraf, 2002 « Une gazelle sur le clavier ». Il ne faut pas s’en tenir à ses prouesses techniques surnaturelles: grâce à lui, écouter du Liszt redevient un plaisir. Avec quelqu’un comme Jean Dubé, la bizarrerie des acrobaties pianistiques style formule 1 - que l’on rencontre par exemple dans la Tarantella di bravura - devient soudain une performance magique. Tous les précédents gagnants de ce concours peuvent apprendre de lui… la fantaisie et l’humour. Brabants Dagblad, Utrecht, 2002



"il possède sa propre vision des oeuvres
–de précieuses qualités d’autant plus mises en valeur qu’il se place toujours à l’arrière plan.Trauw, 2002

« Le pianiste français l’emporte haut la main au 6e concours international Liszt », «ses doigts volaient littéralement sur le clavier », « gagnant incontesté » et « lauréat inégalé », affichait la une des journaux après la victoire de Jean Dubé au 6e concours Liszt d’Utrecht, qui s’est déroulé du 31 mars au 13 avril 2002. Pour la première fois, le public put choisir lui aussi ‘son’ lauréat dans la finale. Le tonnerre d’applaudissements qui salua son interprétation de la Rhapsodie hongroise n° 2 prouva que Dubé avait conquis tous les cœurs. Concours International Franz Liszt, Utrecht, 2002

« Prodigieux Jean Dubé . Le jeune pianiste de 19 ans a donné un récital époustouflant dimanche matin à l’Institut, devant une salle quasiment comble ». Avec des artistes de la trempe de Jean Dubé, l’avenir du piano français semble assuré. […]une fougue et une clarté déclamatoire rappelant Yves Nat. Aussi à l’aise dans le répertoire classique et romantique que contemporain, JeanDubé a fortement impressionné les mélomanes par son souci constant detransparence, de fluidité et surtout d’expressivité, sa technique transcendanteet sa maestria confondante.La République du Centre, 2001


"Un virtuose ! Un phénomène ! […] le pianiste le plus impressionnant de l’année. Il a vingt ans et une maîtrise absolue de son art. Une virtuosité à toute épreuve, un vrai pouvoir d’émouvoir. Il sait donner du poids à son discours, faire sangloter une phrase, prolonger un soupir, déchaîner des orages, tenir son public en haleine. Il peut être colossal ou caressant. Il n’a pas son pareil pour faire attendre la dernière note, celle, précieuse et définitive, qui vous arrache une larme. Nice Matin, 2001

"Jean Dubé a dominé l’épreuve de récital avec un époustouflant Klavierstuck de l’Allemand Wolfgang Rihm et un vertigineux Désordre de Ligeti. Il manifeste imagination, présence et une puissance de son orchestrale. Le Monde de la Musique, 2001

"On se souviendra de sa virtuosité fougueuse, de son originalité, de sa profonde musicalité comme de son impact sur le public" Le Figaro, 2000


Orchestre Philharmonique de Baden-Baden/Jean Dubé au piano

"L'art u soliste est passé comme un souffle puissant sur l’auditoire"

Baden-Baden -

"/…/Après son audition, le concerto pour piano n°2 en sol mineur op.22 de Camille Saint Saëns s’est véritablement transformé en un « hit ». Le soliste Jean Dubé est à l’origine du tonnerre d’applaudissements. Il n’a que seize ans mais se révèle déjà comme un maître du piano. /…/ Ce jeune homme du Sud de la France est un virtuose qui semble ignorer les difficultés techniques. Avec un toucher d’une certitude absolue, une maîtrise dans l’intensité des sons, une vélocité à vous couper le souffle, une frappe énergique mais aussi capable de douceur pianistique, il réussit à faire resplendir la virtuosité élégante de la partition. Tout était réussi : l’expression remplie d’intensité des crescendo ainsi que le phrasé des grandes pensées, les accents éblouissants de l’orchestre, le calme léger du piano et la beauté du dialogue entre le soliste et l’orchestre. Le concert s’est construit en partant de l’andante sostenuto, en passant par un allegro scherzando pétillant et dansant, pour aboutir à un presto élégant et raffiné. Le morceau donné en bis par le soliste, en remerciement des applaudissements enthousiastes est passé comme une tempête qui devait retentir longtemps dans les têtes des spectateurs"

Badisches Tagblatt, 14 avril 1998

"Un des plus beaux espoirs du piano français" Festival International de Lanaudière, 1998 "


"Un musicien hors du commun pour qui l’impossible n’existe pas". Muzsika, Budapest, 1998


"Une maîtrise flamboyante et une musicalité surprenante de beauté"

Festival Musiques dans les Vignes, 1998


"Une extraordinaire puissance, un incroyable talent. Festival international de Pierrefonds, 1996

"J’ai été littéralement stupéfié par Jean Dubé, dix ans. L’aisance et la clarté du son, la beauté du phrasé, la compréhension du texte sont au niveau des qualités techniques, vite oubliées comme l’écoute d’un grand (à tous les sens du mot) interprète. Un enfant prodige ? On verra bien. Un sens musical prodigieux ? C’est certain". Gérard Gefen, La Lettre du musicien, Paris, 1992


En trente ans de carrière au Conservatoire de Nice, André Peyregne a observé trois enfants prodiges, « des enfants qui ont la science infuse, qui jouent spontanément », raconte-t-il. « Je me souviens de Jean Dubé. Il avait 5 ans. Pendant que ses parents me parlaient de ses dons, il s'amusait à quatre pattes sous mon bureau, juste avant de jouer une étude de Chopin qu'on ne joue normalement qu'après dix ans de Conservatoire » Anne Crignon et Claire Fleury , Le Nouvel Observateur, « Les enfants prodiges », semaine du jeudi 22 décembre 2005

Il me semble, en vérité, que Jean Dubé est un musicien unique qui peut jouer pratiquement tout avec une compréhension absolue, sans parler de sa technique pianistique phénoménale. Normunds Šnē, chef d’orchestre, directeur de l’Orchestre National de Riga, Latvijas Mūzikas Informācijas Centrs, 10 juin 2004


A peine Jean Dubé eut-il mis ses mains sur le piano, dimanche au Westminster, que l’auditoire fut aux anges. Il venait d’aborder un Impromptu de Chopin. Seuls les magiciens ont ce pouvoir de ravir instantanément le public. Jean Dubé est, à sa façon, un magicien. Dès les premiers applaudissements, le public fut debout. Cela se voit rarement. A 21 ans, Jean Dubé est un pianiste comme il y en a peu. Sa maîtrise est parfaite, sa virtuosité stupéfiante, sa musicalité idéale, sa sonorité merveilleuse. En plus, il possède ce don d’émouvoir qui distingue les artistes d’élite des autres. Nice Matin, 2003

« Jean Dubé incontestable vainqueur du concours Liszt ». Dubé est vraiment un grand interprète: il apporte du bonheur et même une certaine béatitude. Algemeen Dagblad, 2002


"Jean Dubé possède le plus de maîtrise, il choisit le spectaculaire et la vitesse et réussit à transmettre au public son enthousiasme pour la virtuosité lisztienne. Sa cadence bien réussie lui a valu les ovations des mélomanes". Telegraf, 2002


« Une gazelle sur le clavier ». Il ne faut pas s’en tenir à ses prouesses techniques surnaturelles: grâce à lui, écouter du Liszt redevient un plaisir. Avec quelqu’un comme Jean Dubé, la bizarrerie des acrobaties pianistiques style formule 1 - que l’on rencontre par exemple dans la Tarantella di bravura - devient soudain une performance magique. Tous les précédents gagnants de ce concours peuvent apprendre de lui… la fantaisie et l’humour. Brabants Dagblad, Utrecht, 2002


"Jean Dubé possède sa propre vision des oeuvres–de précieuses qualités d’autant plus mises en valeur qu’il se place toujours à l’arrière plan.Trauw, 2002


« Le pianiste français l’emporte haut la main au 6e concours international Liszt », «ses doigts volaient littéralement sur le clavier », « gagnant incontesté » et « lauréat inégalé », affichait la une des journaux après la victoire de Jean Dubé au 6e concours Liszt d’Utrecht, qui s’est déroulé du 31 mars au 13 avril 2002. Pour la première fois, le public put choisir lui aussi ‘son’ lauréat dans la finale. Le tonnerre d’applaudissements qui salua son interprétation de la Rhapsodie hongroise n° 2 prouva que Dubé avait conquis tous les cœurs. Concours International Franz Liszt, Utrecht, 2002

« Prodigieux Jean Dubé . Le jeune pianiste de 19 ans a donné un récital époustouflant dimanche matin à l’Institut, devant une salle quasiment comble ». Avec des artistes de la trempe de Jean Dubé, l’avenir du piano français semble assuré. […]une fougue et une clarté déclamatoire rappelant Yves Nat. Aussi à l’aise dans le répertoire classique et romantique que contemporain, JeanDubé a fortement impressionné les mélomanes par son souci constant detransparence, de fluidité et surtout d’expressivité, sa technique transcendanteet sa maestria confondante.La République du Centre, 2001

Un virtuose ! Un phénomène ! […] le pianiste le plus impressionnant de l’année. Il a vingt ans et une maîtrise absolue de son art. Une virtuosité à toute épreuve, un vrai pouvoir d’émouvoir. Il sait donner du poids à son discours, faire sangloter une phrase, prolonger un soupir, déchaîner des orages, tenir son public en haleine. Il peut être colossal ou caressant. Il n’a pas son pareil pour faire attendre la dernière note, celle, précieuse et définitive, qui vous arrache une larme. Nice Matin, 2001

Jean Dubé a dominé l’épreuve de récital avec un époustouflant Klavierstuck de l’Allemand Wolfgang Rihm et un vertigineux Désordre de Ligeti. Il manifeste imagination, présence et une puissance de son orchestrale. Le Monde de la Musique, 2001

On se souviendra de sa virtuosité fougueuse, de son originalité, de sa profonde musicalité comme de son impact sur le public. Le Figaro, 2000

Une révélation. L’art du soliste est passé comme un souffle puissant sur l’auditoire. Badisches Tagblatt, Baden-Baden, 1998

Un des plus beaux espoirs du piano français. Festival International de Lanaudière, 1998

Un musicien hors du commun pour qui l’impossible n’existe pas. Muzsika, Budapest, 1998

Une maîtrise flamboyante et une musicalité surprenante de beauté. Festival Musiques dans les Vignes, 1998

Une extraordinaire puissance, un incroyable talent. Festival international de Pierrefonds, 1996

J’ai été littéralement stupéfié par Jean Dubé, dix ans. L’aisance et la clarté du son, la beauté du phrasé, la compréhension du texte sont au niveau des qualités techniques, vite oubliées comme l’écoute d’un grand (à tous les sens du mot) interprète. Un enfant prodige ? On verra bien. Un sens musical prodigieux ? C’est certain. Gérard Gefen, La Lettre du musicien, Paris, 1992

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